Éducation Archives - Fondation Louis Bonduelle https://www.fondation-louisbonduelle.org/category/education/ Thu, 19 Oct 2023 12:50:40 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.1 Il n’est jamais trop tôt pour bien faire https://www.fondation-louisbonduelle.org/2022/09/16/il-nest-jamais-trop-tot-pour-bien-faire/ Fri, 16 Sep 2022 07:08:46 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=30075 La Semaine européenne du développement durable encourage tous, individuellement et collectivement, à une mobilisation concrète pour une planète solidaire. L’édition 2022 a pour fil rouge « Une meilleure qualité de vie ». Parce que ce que nous faisons au quotidien compte pour ajouter de la qualité à nos vies et à transformer durablement les sociétés.

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La Semaine européenne du développement durable (SEDD) aura lieu du 18 septembre au 8 octobre et vise à promouvoir la transition écologique à travers la valorisation d’actions locales et la sensibilisation du public au développement durable. La Fondation Louis Bonduelle répond avec enthousiasme et par des actions concrètes à cet appel depuis de nombreuses années. 

Petits et grands flexitariens

Cette année, la Fondation a choisi une action pour éveiller les consciences et les papilles des petits et grands. L’exercice porte à réinterpréter des grands classiques de la cuisine française en version flexitarienne et pour qu’ils continuent à plaire à tous. Un sacré défi que nos cuisiniers en herbe ont relevé avec brio et que nous vous ferons découvrir dans un instant.

Revenons d’abord sur nos habitudes alimentaires actuelles. Une diète végétarienne pour tous est sans doute souhaitable pour aider à mieux gérer les ressources de la planète. Mais, nos habitudes alimentaires et nos pratiques culinaires sont encore très éloignées de cet objectif, selon les résultats d’une étude, confiée à l’Ifop par FranceAgriMer. Un échantillon large et représentatif de la population française, 15000 personnes âgées de 15 à 70 ans, a ainsi été interrogé en 2020.

Les végétariens restent marginaux, mais le flexitarisme gagne du terrain. Seuls 2,2% des français excluent la viande de leur menu (pescetarien, végétarien ou végétalien), tandis que quasi un quart en limite volontiers la consommation (flexitariens).

Il y a une volonté, présente surtout chez les jeunes, à végétaliser leur alimentation. Tandis que la grande majorité des répondants, à savoir 85%, n’envisagent pas de changer de régime. L’attachement des Français à la viande est ancré et reste fort, mais leur rapport à la viande évolue. Ainsi, 68% des répondants estiment qu’on consomme trop de viande en France.

Manger un peu moins de viande, pour donner une plus grande place aux légumes dans nos assiettes, semble d’ores et déjà un objectif atteignable par tous. Voyons ce que nos jeunes chefs en pensent et comment ils peuvent nous inspirer.

Quatre grands classiques revisites

Le défi à relever consistait à ‘flexitariser’ des recettes issues de la tradition culinaire française et dont les enfants raffolent. Le jeu en valait la chandelle, parce que les gains se sont révélés multiples. Tout d’abord, une réduction de la quantité de viande ainsi qu’une augmentation substantielle des légumes ont été réalisées pour chaque recette. En prime, ce furent des expériences conviviales et intergénérationnelles, pimentées d’une créativité joyeuse et d’un éveil de tous les sens.

Laissez-vous tenter et vivez cette aventure haute en couleurs et saveurs. Découvrez un Parmentier qui fait la part belle aux légumes, des bouchées à la reine où les végétaux sont roi, une quiche Lorraine où les lardons deviennent facultatifs et une galette bretonne richement garnie, sans jambon. Nos jeunes chefs les commentent pour nous mettre en appétit et pour éveiller nos consciences. Une planète solidaire ne demande pas de changer nos habitudes du tout au tout, des assiettes un peu plus ‘flexi’ sont déjà un bon début.

 

DECOUVREZ LES RECETTES EN VIDEOS

Bouchées à la reine aux gnocchis et champignons

Crêpes de blé noir au potiron et chèvre

Quiche Lorraine aux épinards

Parmentier de légumes et de hachis « à la bolognaise »

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Les Européens prêts à adopter une alimentation plus durable https://www.fondation-louisbonduelle.org/2020/08/19/europeens-prets-adopter-alimentation-plus-durable/ Wed, 19 Aug 2020 12:22:27 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=25583 La plupart des consommateurs européens se disent prêts à changer leurs habitudes alimentaires, pour des raisons environnementales, à condition que « durable » rime avec « facilité ». C’est ce qui ressort d’une enquête menée pas plusieurs associations de consommateurs en Europe et publiée par le BEUC.

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L’alimentation représente la première source des impacts environnementaux liés à la consommation des ménages dans l’Union Européenne (UE), devant le logement et la mobilité1. Elle constitue de ce fait un levier majeur pour agir en faveur d’un monde plus durable. Cela passe en grande partie par le développement d’une alimentation plus riche en végétaux, ce qui est également favorable à notre santé. Mais dans quelles mesures les consommateurs européens sont-ils prêts à changer leurs habitudes, et à quelles conditions ? Le Bureau européen des Unions de Consommateurs (BEUC) apporte des éléments de réponse dans son rapport élaboré à partir d’enquêtes menées par des associations de consommateurs auprès d’un panel de plus 11 000 citoyens2.

Pourquoi notre alimentation doit-elle incontestablement devenir plus végétale? Toutes les réponses dans notre nouveau livre blanc à télécharger!

Disposés à changer, mais des obstacles subsistent

L’enquête sur la transition vers une alimentation durable révèle que :

  • La plupart des consommateurs sont conscients de l’impact environnemental de l’alimentation en général, mais ils ont tendance à sous-estimer l’impact de leurs propres habitudes alimentaires sur l’environnement.
  • 2 consommateurs sur 3 se disent prêts à manger différemment pour des raisons environnementales, mais à ce jour seules 4 personnes sur 10 ont diminué leur consommation de viande rouge. Les alternatives végétales comme les légumineuses et les « burgers » végétaux semblent être les solutions les plus acceptées bien avant les insectes ou la viande de synthèse.
  • Le prix, le manque de connaissances, le caractère peu clair de l’information et un choix restreint de produits durables sont les obstacles les plus cités pour manger plus durablement.

Qu’est qu’une légumineuse ?

Quels sont leurs atouts et comment les placer vis-à-vis des légumes? On vous dit tout!

Enfin, le rôle insuffisant joué par les gouvernements est aussi mis en lumière dans ce rapport : seuls 16 % des consommateurs estiment que leur gouvernement en fait assez pour l’alimentation durable, tant au niveau de la production que de la consommation.

Coronavirus : plus de végétaux pendant le confinement

Durant la période de confinement lié au coronavirus, il apparait que les consommateurs ont acheté davantage de fruits et légumes, et ont adopté des habitudes alimentaires plus saines, selon une étude menée dans 11 pays à travers le monde, dont l’Autriche, la Belgique, la France, la Grèce, l’Irlande et les Pays-Bas3. « La consommation d’aliments salés, gras et sucrés augmente généralement lorsque les gens sont stressés, mais pendant la pandémie, cette envie accrue a été comblée dans de nombreux pays avec des spécialités faites maison », explique Charlotte de Backer, coordinatrice de l’étude. Il est difficile de prévoir si ces tendances vont perdurer, seulement ces conclusions s’ajoutent à celles des études du BEUC, réalisées avant la crise du coronavirus, et qui montraient déjà l’intérêt pour adopter une alimentation plus durable.

La stratégie durable européenne « De la ferme à la table »

Quoi qu’il en soit, la crise du coronavirus amène à une réflexion sur les systèmes alimentaires. Elle a poussé la Commission européenne à présenter sa stratégie pour des systèmes alimentaires plus durables et plus résilients, intitulé « de la ferme à la table »4. Elle a notamment pour objectifs, d’ici à 2030 :

  • une réduction de 50 % de l’utilisation des pesticides chimiques.
  • une diminution d’au moins 50 % des pertes de nutriments (Azote et Phosphore) sans détérioration de la fertilité des sols.
  • Une réduction d’au moins 50 % des ventes d’antibiotiques destinés aux animaux d’élevage et à l’aquaculture.

En 2020, la Fondation Louis Bonduelle contribue au financement de projets internationaux qui améliorent l’impact positif de l’alimentation végétale sur le processus d’accompagnement vers des habitudes alimentaires durables.

Vers une alimentation plus végétale : découvrez les 3 projets lauréats

Télécharger le rapport complet ici

1. European Commission Joint Research Centre, Indicators and assessment of the environmental impact of EU consumption, 2019.
2.
BEUC. ONE BITE AT A TIME: CONSUMERS AND THE TRANSITION TO SUSTAINABLE FOOD. June 2020.
3. Etude menée par l’Université d’Anvers dans 11 pays à travers le monde. Consulté le 13/08/20.
4.
Commission européenne. De la ferme à la table. Consulté le 13/08/20.

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Le Québec en faveur de l’achat local https://www.fondation-louisbonduelle.org/2020/05/04/le-quebec-en-faveur-de-lachat-local/ Mon, 04 May 2020 13:32:44 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=25091 Les québécois sont désormais mieux outillés pour favoriser l'achat local.

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Au-delà de l’impact sanitaire, la Covid-19 affecte durement l’économie. Au Québec, le gouvernement a lancé un appel à la population et encourage tous les citoyens à favoriser l’achat local.

Petit guide pour faire des choix éclairés en alimentation.

 

Opter pour l’achat local en restant à la maison

Deux sites internet sont maintenant disponibles pour répertorier les entreprises du Québec. Solution locale, une initiative citoyenne, et Le panier bleu, l’initiative d’un organisme à but non lucratif soutenu par le gouvernement du Québec. Tous deux permettent aux consommateurs d’identifier facilement les entreprises et commerces locaux.

D’autres sites permettent quant à eux de passer directement des commandes en ligne. C’est le cas de Maturin qui depuis 2018 a mis en place un marché numérique de vente directe sans intermédiaire. Les producteurs alimentaires de partout au Québec peuvent ainsi mettre en vente leurs produits. L’algorithme du site internet se charge ensuite de proposer les produits aux consommateurs en fonction de la distance qui les sépare. De cette manière, la proximité géographique est favorisée.

Avec la crise du Covid-19, d’autres plateformes alimentaires centrés sur les produits locaux ont vu le jour. Le Club Arrivage permet ainsi à des petits producteurs qui vendaient principalement leurs produits à des restaurateurs, de les offrir désormais au grand public. On mange quoi, qui permettait aux employés d’avoir accès à des produits locaux sur leur lieu de travail, vient de lancer sa boutique en ligne accessible à tous les montréalais.

Repérer les produits locaux à l’épicerie

La certification « Aliment du Québec » existe depuis 2009. Les produits arborant le logo « Aliments du Québec » sont entièrement québécois ou composés d’un minimum de 85% d’ingrédients d’origine québécoise. Dans ce cas-là, la certification exige que tous les ingrédients principaux proviennent du Québec. De plus, c’est l’assurance que toutes les activités de transformation et d’emballage sont également réalisées au Québec.

Les produits qui affichent la mention « Aliments préparés au Québec » sont quant à eux des produits entièrement transformés et emballés au Québec. Si les ingrédients principaux sont disponibles au Québec en quantité suffisante, ils doivent également être utilisés.

Depuis 2013, il existe également la déclinaison biologique.

Tous les produits du Québec ne portent toutefois pas ces certifications. En effet, il s’agit d’une démarche volontaire qui reste à l’initiative des producteurs. En 2017, plus de 20 000 produits étaient certifiés.

Du côté des fruits et légumes frais, c’est l’étiquette indiquant la provenance qui reste le meilleur indicateur. L’Association des producteurs maraîchers du Québec a mis en ligne un calendrier d’arrivages qui aide également les consommateurs à se repérer.

Pour identifier les fromages québécois, on peut se fier au logo « Fromage d’ici ». La plateforme présente à la fois les fromages, ainsi que les fromageries installées au Québec.

Pour le lait, il faut savoir que tout le lait blanc (écrémé, 1 %, 2 % et 3,25 %) vendu au Canada est issu de fermes canadiennes, quelle que soit la marque sous laquelle il est commercialisé. D’ailleurs, 55 % du lait canadien provient de fermes québécoises. Certaines marques affichent les logos « Lait 100% canadien » ou « Les producteurs laitiers du Canada » sur leurs emballages, mais pas toutes.

 

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S’abonner à un panier de légumes

Une autre façon de soutenir l’achat local c’est de se procurer les produits directement auprès des producteurs. Le principe de l’abonnement à un panier de légumes est simple : on paie à l’avance l’achat d’une part des récoltes d’une ferme à proximité de chez soi, qu’on reçoit ou qu’on va chercher sur un lieu de cueillette sous forme de paniers pendant plusieurs semaines.

De nombreuses fermes proposent cette option (Épicerie En Direct De La Ferme, Ma ferme, Les Fermes Lufa,  Jardin des Anges…). D’autres se sont regroupées au sein du Réseau des fermiers de famille.

Pour ceux qui ont en plus à cœur de lutter contre le gaspillage alimentaire, SecondLife propose des paniers de « fruits et légumes moches ».

 

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Se lancer en agriculture urbaine

Rien de plus local que de cultiver soi-même ses légumes! Le portail Cultive ta ville est la plateforme parfaite pour celles et ceux qui font leurs premiers pas en agriculture urbaine. Que ce soit des références pour choisir ses semences, des conseils pour faire ses semis ou démarrer un potager dans sa cour, son balcon ou sur son toit, le portail regorge de ressources.

 

Même si cela reste parfois difficile de bien se repérer, les consommateurs québécois disposent maintenant d’une grande variété d’outils qui favorisent l’achat local. Des outils qui contribuent aussi à rendre notre économie plus durable.

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Des marchés mobiles pour lutter contre les déserts alimentaires https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/11/06/des-marches-mobiles-pour-lutter-contre-les-deserts-alimentaires/ Wed, 06 Nov 2019 15:47:00 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=23492 Un quartier de Montréal se dote d’un système alimentaire local incluant des marchés mobiles pour lutter contre les déserts alimentaires.

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Déserts alimentaires en pleine ville

Selon une étude de la Direction régionale de santé publique de Montréal, 38% de la population n’a pas accès à des fruits et légumes frais dans un rayon de 500 mètres. 38% de la population vit donc dans ce qu’on qualifie de « déserts alimentaires ».

Or, il est maintenant bien établi que la qualité de l’environnement alimentaire a un impact direct sur la santé : un manque d’accès aux aliments sains comme les fruits et légumes constitue un déterminant majeur de problèmes de santé. L’enjeu est encore plus important quand on parle de population à faible revenu. À la rareté s’ajoute alors les difficultés financières qui font que les familles orientent leurs choix vers des produits le rapport coût / effet rassasiant est plus intéressant. Un rapport qui laisse naturellement en dehors de la liste d’épicerie les fruits et légumes frais.

Affiche marché mobile

Des marchés mobiles pour lutter contre les déserts alimentaires

Pour lutter contre le désert alimentaire du quartier, l’organisme Concertation Ville Émard-Côte St Paul a décidé d’adopter une approche intégrée. « Différentes actions ponctuelles éparpillées sur le territoire étaient déjà en place. Mais elles n’avaient pas vraiment de lien entre elles. Pour être plus efficaces, nous avons décidé de repenser le système alimentaire au complet » explique Assia Kada, coordinatrice générale de l’organisme.

L’organisme réfléchit alors à des actions qui combinent production, distribution, transformation et éducation alimentaires.

Aux jardins collectifs et jardins en bacs déjà fonctionnels s’ajoutent un projet de toit vert et de jardins verticaux pour l’épicerie citoyenne.

Des marchés mobiles voient également le jour aux quatre coins du quartier. « Nous les avons installés au plus proche de la population : à la sortie du métro Jolicoeur, au pied de la résidence HLM Montmagny, au coeur du projet de revitalisation urbaine « Opération Galt »… ». Les cinq marchés mobiles accueillent ainsi de 100 à 120 personnes une à deux fois par mois, tout au long de l’année. « Les citoyens peuvent y acheter des fruits et légumes frais provenant directement des producteurs locaux ou des produits que l’on achète aux grossistes et que l’on vend au prix d’achat ».

 

Côté éducation, toutes les occasions sont bonnes pour faire découvrir et adopter les fruits et légumes. « On organise des ateliers de cuisine, d’agriculture urbaine, des soirées documentaires. On propose également des dégustations de plats sur les marchés mobiles et on distribue les recettes ».


Le projet Fruits et légumes pour tous est l’un des lauréats de l’appel de projets de 100º « S’approvisionner autrement: fruits et légumes à l’année pour tous! », conduit en partenariat avec la Fondation Louis Bonduelle.

100º est la référence en saines habitudes de vie au Québec.

 

Ressources

Concertation Ville Émard-Côte St Paul

Étude sur l’accès aux aliments santé à Montréal, 2010

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Légumineuse et légume: quelles différences? https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/08/22/legumineuse-legume-quelles-differences/ Thu, 22 Aug 2019 14:36:03 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22905 Qu'est qu'une légumineuse? Quels sont leurs atouts et comment les placer vis-à-vis des légumes? Améliorer vos connaissances sur ces végétaux qui ont de l'avenir!

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Légumineuse: un légume particulier

Les légumineuses, de leur nom latin leguminosous, sont issues du mot legumen qui signifie «légume». Ainsi, en botanique, «légumineuse» désigne une variété particulière de légume. Comme pour les légumes, les légumineuses se cultivent dans la terre. Alors que les légumes courants (courgettes, haricots verts, salades,…) sont destinés à être consommés frais, les légumineuses sont cultivées dans le seul but d’obtenir des grains secs nommés «légumes secs» (FAO).

Par ailleurs, les légumineuses ont la capacité de fixer l’azote, ce qui permet d’accroître la fertilité du sol de façon naturelle et de limiter la quantité d’intrants synthétiques. Ce sont, en outre, des plantes peu fragiles qui s’adaptent à des conditions climatiques arides. Ainsi, les légumineuses constituent la cuisine traditionnelle de nombreux pays du sud (Pakistan, Inde,…) et du Moyen-Orient.

De multiples valeurs nutritives

Bien qu’elles soient issues de la même famille botanique, les légumineuses se différencient des légumes par leurs apports nutritionnels. En effet, les légumineuses sont:

 

Nutritionnellement, leur haute teneur en protéines les classe dans la catégorie des VVPOLAV (viande, volaille, poisson, œuf, légumineuses et alternatives végétales) et non dans celles des végétaux (fruits et légumes). Ainsi, 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viande, tout en excluant l’apport de graisses saturées. De plus, leur teneur élevée en fibres leur confère un index glycémique faible et aide à la santé digestive.

Visualisez les catégories alimentaires au travers de la pyramide alimentaire

Pour une alimentation équilibrée, consommez 1 à 2 fois par jour des aliments de la catégorie des VVPOLAV en alternant leur origine (végétale ou animale). Les légumineuses sont à consommer minimum 2 fois par semaine. Ce sont des produits de haute teneur nutritionnelle qui semblent être une solution pour une alimentation durable. Comme évoqué plus haut, elles constituent la base culinaire de nombreuses cultures, servant d’alternative à la viande. Pour vous inspirer de nombreuses recettes à base de légumineuses des quatre coins de la planète, consultez le site dédié de la FAO.

Et pour les légumes?

Les légumes font partie de la catégorie «fruit et légume». Ils sont source de vitamines, minéraux et antioxydants. Il est recommandé de manger au moins 3 portions de légumes par jour, à associer avec un apport protéique et glucidique (céréales complexes).

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Acteur de votre santé par l’alimentation https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/08/08/acteur-sante-alimentation/ Thu, 08 Aug 2019 06:50:26 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22841 Les besoins nutritionnels diffèrent au cours de la vie ainsi que nos envies. Savoir bien s’alimenter et y prendre goût, c’est avant tout comprendre l’importance de l’alimentation dans le maintien d’une bonne santé.

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Comprendre pour agir

Modifier son régime alimentaire requiert des efforts et de la volonté. Avec l’âge, nos besoins se modifient et nos envies aussi. L’alimentation interagit avec la santé et comprendre ces liens est indispensable pour modifier consciencieusement son régime alimentaire. Pour développer les connaissances, de brèves vidéos ont été développées pour transmettre les connaissances essentielles.

Savez-vous qu’il existe des nutriments essentiels qui ne peuvent pas être synthétisés par le corps et qui doivent donc êtres apportés par notre alimentation? Mais aussi que certaines doses trop élevées de vitamine peuvent être mortelles? Ou encore que le chocolat noir est bon pour la santé de votre cœur? Les connaissances essentielles permettent de comprendre les impacts de l’alimentation sur le sommeil, le stress ou encore sur les maladies.

Découvrez les bases en nutrition sur les glucides:

N’hésitez pas à découvrir également les connaissances essentielles sur les lipides, les protéines et les micronutriments.

Des conseils pour avoir la santé par l’alimentation

Chaque personne est unique et les recommandations nutritionnelles nationales valent pour un adulte moyen. Cependant, au cours de la vie, il est important d’adapter individuellement ces recommandations en fonction de son état de santé et de son activité physique. Les vidéos développées au cours du projet alpha-aging, apportent des conseils et des informations sur différents problèmes rencontrés à partir de 50 ans, mais qui peuvent aussi l’être à différents moments de la vie. On retrouve par exemple des informations sur des problèmes d’anxiété, de sommeil ou de cholestérol.

Pour apporter des pistes de solutions, les vidéos apportent des informations sur le rôle que peut jouer l’alimentation dans le déclenchement ou la prévention de ces troubles. Enrichir ses connaissances permet de faire comprendre comment on peut avoir une meilleure santé par son alimentation.

Découvrez l’impact de l’alimentation sur le sommeil:

Mais aussi les impacts qu’elle peut avoir sur le stress.

Pour aller plus loin et en fonction de vos préoccupations, des vidéos abordent également l’impact de l’alimentation sur certaines maladies cardiaques ainsi que sur le diabète et la santé osseuse.

Découvrez également la monographie « Élaborer des recommandation alimentaires », écrite par la Fondation Louis Bonduelle. Cette monographie permet de comprendre l’histoire des recommandations et le travail effectué par les spécialistes français et canadiens pour réviser les recommandations actuelles.

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Lutte contre l’insécurité alimentaire à Côte-de-Beaupré https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/08/02/lutte-contre-linsecurite-alimentaire-a-cote-de-beaupre/ Fri, 02 Aug 2019 16:11:44 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22566 Un organisme communautaire a mis en place un partenariat à travers 11 municipalités pour rejoindre l’ensemble de la population souffrant d’insécurité alimentaire.

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Depuis 1998, Ressources familiales Côte-de-Beaupré œuvre pour soutenir les familles d’enfants de 0 à 12 ans dans cette région proche de Québec. Désireux de répondre plus largement au problème d’insécurité alimentaire des habitants, l’organisme communautaire a opté pour les alliances.

 

L’insécurité alimentaire, au cœur des priorités de tous les organismes communautaires

« L’insécurité alimentaire constitue un véritable frein pour toutes les personnes en difficulté. Problèmes de santé mentale, faibles revenus, décrochage scolaire, isolement… Nous voulions permettre à toutes ces personnes d’avoir accès à des aliments » explique Véronique Vézina, directrice par interim.

En 20 ans, l’organisme a acquis une solide expertise. Elle offre en effet un dépannage alimentaire d’urgence et une épicerie communautaire aux familles. Si l’équipe sait comment rejoindre cette clientèle, elle manque de ressources pour identifier et rejoindre les autres habitants dans le besoin. « Nous avons alors eu l’idée de rassembler des partenaires autour de ce projet. Des partenaires qui connaissent et sont en contact avec des personnes en situation d’itinérance, de chômage, d’exclusion… ».

C’est ainsi qu’une dizaine d’organismes communautaires, chacun intervenant auprès d’une clientèle spécifique, se sont réunis autour de Ressources familiales Côte-de-Beaupré. « Pour être le plus efficaces possible, nous avons décidé de ne pas chercher à établir des critères d’évaluation communs. Chaque organisme fait donc sa propre évaluation et nous réfère les personnes vulnérables » continue Véronique.

 

Épicerie communautaire et ateliers de cuisine créative

Chaque mois, les personnes préalablement identifiées par les organismes partenaires ont ainsi accès à l’épicerie communautaire. « Grâce à la subvention de 100 degrés / Fondation Louis Bonduelle, nous avons ouvert un deuxième point de service à Château-Richer. Tous les aliments sont gratuits. Nous pouvons compter sur le soutien de Moisson Québec et de partenaires locaux pour l’approvisionnement ».

Des ateliers de cuisine créative sont également offerts. L’idée est d’amener les participants à préparer des plats à partir des denrées disponibles. Une façon de développer leurs habiletés culinaires, mais aussi de lutter contre le gaspillage alimentaire. « Nos ateliers permettent d’apprendre à apprêter de multiples façons des fruits et légumes de saison, de faire découvrir des produits moins connus qui sont souvent délaissés dans l’épicerie par manque de connaissance ». Trois ateliers sont ainsi programmés chaque mois à Beaupré, Château-Richer et Saint-Tite-des-Capes.

 

Grâce à ces partenariats, Ressources familiales Côte-de-Beaupré a doublé le nombre de familles bénéficiaires de l’épicerie communautaire. Quant aux ateliers de cuisine créative, la demande est en constante augmentation. Autre résultat fort intéressant : les paniers des familles qui participent aux ateliers sont plus souvent garnis de fruits et légumes frais. Signe que cuisiner fait aimer les légumes!

 

Le projet sécurité alimentaire en partenariat est l’un des lauréats de l’appel de projets de 100º « S’approvisionner autrement: fruits et légumes à l’année pour tous! », conduit en partenariat avec la Fondation Louis Bonduelle.

100º est la référence en saines habitudes de vie au Québec.

 

Ressources

Véronique Vézina, directrice par interim de Ressources familiales Côte-de-Beaupré

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L’alimentation végétale: une base à tout âge https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/07/11/les-vegetaux-base-alimentaire-age/ Thu, 11 Jul 2019 08:30:56 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22569 Augmenter la part de l'alimentation végétale est un défi incontournable pour tendre vers une alimentation durable. Seulement, des plus petits au plus grands, les légumes n’ont souvent pas la cote. Découvrir les déterminants clés des choix alimentaires fût l’objectif de l’étude VeggiEat menée pendant cinq années au niveau européen.

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Etude VeggiEAT

Influencer l’alimentation végétale sans contraindre

Le «lundi vert» est une tendance qui se répand un peu partout sur la planète. Ce mouvement est un défi commun qui permet d’instaurer la consommation d’un repas végétarien par semaine.

De multiples techniques de ce type voient le jour pour promouvoir l’alimentation végétale par des interventions comportementales. Une étude de 2018, parue dans Appetite, montre l’impact de la conception des menus sur le choix d’un plat végétarien.

Le projet VeggiEat s’est intéressé, quant à lui, aux déterminants des choix alimentaires face aux végétaux. L’étude s’est déroulée sur 5 ans, dans 4 pays européens (l’Italie, l’Angleterre, le Danemark et la France) sur des adolescents et des personnes âgées. Au cours de l’étude, deux techniques de nudging ont été mises en place et se sont avérées significativement efficaces:

  • L’ambiance «green» sur le lieu de restauration (plantes, plats verts). La technique a permis de diminuer le nombre de calories ingérées pendant le repas.
  • Proposer une diversité de légumes en portions prédéfinies. La technique a augmenté significativement la consommation de légumes.

Les nudges sont des techniques efficaces si elles s’adaptent à la situation, au sujet ainsi qu’à l’élément dont on souhaite modifier le comportement. De nombreux chercheurs se sont penchés sur leur analyse, comme la lauréate 2016 du Prix de Recherche de la Fondation Louis Bonduelle. Retrouvez sa thèse «Vers des choix alimentaires sains et sans effort».

Des techniques à adapter pour être efficaces

L’étude VeggiEat a permis de mettre en évidence des différences d’appréciation en fonction des âges: les personnes âgées sont plus attirées par les produits au goût relevé ou les nouveaux produits alors que les adolescents sont plus disposés à manger des produits familiers aux couleurs vives et au goût sucré (tomates, maïs,…). Les différences peuvent également provenir des origines géographiques. Par exemple, les étudiants danois mangent plus facilement les légumes en soupe, tandis que les étudiants italiens préfèrent consommer les légumes crus.

D’autres facteurs peuvent intervenir, comme le comportement passé des gens. En effet, l’étude sur la conception des menus a mis en avant que les recommandations et les menus descriptifs augmentent le choix vers une alimentation végétale seulement pour des petits consommateurs de végétaux au quotidien. Ainsi, le passage doux vers une alimentation durable est possible mais peut nécessiter des interventions plus personnalisées.

1. Friis R. et al., «Comparison of three nudge interventions (priming, default option, and perceived variety) to promote vegetable consumption in a self-service buffet setting», 2017.
2. Appleton KM. et al., Food Quality and preference, «Liking and consumption of vegetables with more appealing and less
appealing sensory properties: Associations with attitudes, food neophobia and food choice motivations in European adolescents», 2019.
3. Dos Santos Q. et al., «Consumption of fruits and vegetables among university students in Denmark», 2017.
4. Bacon L. et al., « (Not) Eating for the environment: the impact of restaurant menu design on vegetarian food choice », 2018.
Logo européen pour l'étude VeggiEAT

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Faire aimer les légumes aux enfants commence par cuisiner! https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/06/05/faire-aimer-legumes-enfants-cuisiner/ Wed, 05 Jun 2019 07:28:53 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22442 Apprendre à cuisiner dès le plus jeune âge a notamment un impact positif sur la néophobie. Mais, à plus long terme, l’éducation culinaire forge des connaissances et des aptitudes pour construire des bonnes habitudes alimentaires. Voici l’une des conclusions de l’étude EPICALIM au Canada.

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Pour mieux inciter les enfants à aimer les légumes, il est important de les y exposer fréquemment, dès le plus jeune âge. Depuis plusieurs années, la Fondation Louis Bonduelle sensibilise à l’intérêt des légumes pour la santé à tout âge. Le défi aujourd’hui est de convaincre ces consommateurs plus réticents aux légumes de les consommer quotidiennement.

Dans cette optique, la Fondation a mené différentes études pour savoir comment toucher les enfants, améliorer leur perception des légumes, lever les blocages et notamment la néophobie alimentaire. Le tout pour garantir une familiarisation sur le long terme.

L’une de ces études a été conduite en collaboration avec le Centre de recherche de l’Institut de Tourisme et d’Hôtellerie du Québec (ITHQ), à Montréal, au Canada. L’équipe de recherche, composée de Laurine Thiriet et Pauline Fernandez (ITHQ), Eloïse Castagna et Laurence Depezay (Fondation Louis Bonduelle) a évalué l’impact à moyen terme d’ateliers culinaires sur la capacité à cuisiner d’enfants. Les résultats sont très positifs!

EPICALIM: l’art et la manière de changer les comportements alimentaires des enfants

Toutes les études qui ont testé différentes actions sont quasiment unanimes: les actions les plus efficaces pour faire augmenter la consommation de légumes aux enfants sont celles qui regroupent plusieurs actions, de types différents. L’étude EPICALIM est un ensemble de trois études regroupant des données de terrain ainsi que des données théoriques. Cette étude offre une base de connaissances solides autour de l’efficacité des techniques de prévention. Les recherches menées avec l’ITHQ s’intéressent à l’impact des pratiques culinaires.

L’objectif de cette recherche était d’évaluer la transmission et l’acquisition de 3 compétences culinaires chez 52 enfants âgés en moyenne de 11 ans:

  • la manipulation du couteau de cuisine
  • l’application des techniques de cuisson
  • le suivi d’un recette

L’équipe a comparé plusieurs ateliers culinaires réalisés avec des animateurs différents. Elle a mesuré leur impact sur la capacité à cuisiner de l’enfant en évaluant ses connaissances, son attitude en cuisine et son sentiment d’autonomie. Avant et pendant l’atelier, mais aussi un mois après son organisation. 

 

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Plusieurs modes de transmission pour apprendre à cuisiner

Différents modes de transmission de compétences culinaires ont été utilisés par les animateurs, avec des degrés d’attention variables selon chacun d’eux:

  • l’information, par exemple, sur l’origine du produit
  • l’instruction, par exemple, sur l’usage de la cuisinière
  • la démonstration de la technique
  • l’explication
  • l’hygiène, la nutrition et la sécurité

Premier constat: les différents apprentissages effectués par les animateurs ne modifient pas les résultats. Deuxième constat: quel que soit le scénario de l’atelier culinaire, celui-ci améliore significativement les connaissances, l’attitude et l’autonomie de l’enfant en cuisine.

Cependant, si les connaissances sont maintenues après un mois, le sentiment d’autonomie et les bonnes attitudes régressent significativement. D’où l’importance de reproduire l’expérience dans le temps pour renforcer la familiarisation.

EPICALIM démontre aujourd’hui qu’apprendre à cuisiner est probablement une des étapes clés chez l’enfant pour apprendre à mieux manger. Et sans doute une des démarches les plus efficaces dans l’acception de repas composés de légumes et de végétaux au plus jeune âge.

Envie d’aller plus loin? Découvrez notre nouvelle monographie scientifique: Comment faire manger plus de légumes aux enfants? Les clefs des meilleures actions à mettre en place pour y arriver.

Retrouvez nos délicieuses recettes de légumes qui régaleront les petits et les grands!

Cunningham-Sabo, L., & Lohse, B. (2014). Impact of a School-Based Cooking Curriculum for Fourth-Grade Students on Attitudes and Behaviors Is Influenced by Gender and Prior Cooking Experience.
Journal of Nutrition Education and Behavior, 46(2), 110-120.
Fondation, B. N. (2014). Core competencies for children and young people aged 5 to 16 years.
Fordyce-Voorham, S. (2011). Identification of Essential Food Skills for Skill-based Healthful Eating Programs in Secondary Schools. Journal of Nutrition Education and Behavior, 43(2), 116-122.
Liquori, T., Koch, P.  D., Ruth Contento, I., & Castle, J. (1998). The  Cookshop Program: Outcome Evaluation of a Nutrition Education  Program Linking  Lunchroom Food Experiences with Classroom  Cooking Experiences. Journal of Nutrition Education, 30(5), 302-313.
Oakley, A. R., Nelson, S. A., & Nickols-Richardson, S. M. (2017). Peer-Led Culinary Skills Intervention for Adolescents: Pilot Study of the Impact on Knowledge, Attitude, and Self-efficacy. Journal of Nutrition Education and Behavior, 49(10), 852-857.e851.
Short, F. (2003a). Domestic cooking practices and cooking skills: findings from an English study. Food Service Technology, 3(3/4), 177-185.
Woodruff, S. J., & Kirby, A. R. (2013). The Associations Among Family Meal Frequency, Food Preparation Frequency, Self-efficacy for Cooking, and Food Preparation Techniques in Children and Adolescents. Journal of Nutrition Education and Behavior, 45(4), 296-303.

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Comment faire manger plus de légumes aux enfants? https://www.fondation-louisbonduelle.org/2019/05/23/comment-faire-manger-plus-legumes-enfants/ Thu, 23 May 2019 14:17:51 +0000 https://www.fondation-louisbonduelle.org/?p=22375 Faire manger plus de légumes aux enfants est tout à fait possible. Mais avec les bonnes actions, bien menées, et pour le bon public. À travers sa nouvelle monographie, la Fondation Louis Bonduelle dévoile les clefs des meilleures actions à mettre en place pour y arriver. 

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Cette monographie se veut une boite à idée, un guide pour monter des actions efficaces et durables visant à augmenter la consommation de légumes chez les enfants.
Elle propose non seulement des idées, mais explique aussi la mise en place et décortique les résultats attendus d’actions de différents types, toutes issues de 17 études scientifiques internationales qui en ont mesuré l’impact et qui forment le corpus de référence de cette monographie.

En fonction du contexte (âge des enfants, durée de l’action, etc.), de la variable à mesurer (augmentation de la consommation de légumes, mais aussi attitude, familiarité, etc.), que les actions soit d’ordre sensoriel (jardinage, cuisine, dégustations), d’ordre cognitif (éducation nutritionnelle, jeux, lectures, etc.) ou les deux, des conseils pour optimiser les résultats visant l’augmentation de la consommation de légumes sont donnés pour chaque action. Enfin les grands critères généraux de réussite issus des meilleurs résultats sont identifiés et posés.

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